SEGLOR 2 mg-ml, solution buvable en gouttes, flacon ( pipette) de 75 ml
Retiré du marché le : 09/12/2008
Dernière révision : 13/09/2004
Taux de TVA : 2.1%
Laboratoire exploitant : SCHWARZ PHARMA
- Traitement de fond de la migraine.
- Proposé dans le traitement de l'hypotension orthostatique.
- Proposé dans le traitement de l'hypotension orthostatique.
CONTRE-INDIQUE :
Ce médicament NE DOIT JAMAIS être utilisé dans les cas suivants :
- hypersensibilité connue aux dérivés de l'ergot de seigle,
- en association avec les macrolides, sauf la spiramycine (voir rubrique interactions),
- en association avec les triptans (almotriptan, élétriptan, frovatriptan, naratriptan, rizatriptan, sumatriptan et zolmitriptan) (voir rubrique interactions),
- en association avec le ritonavir, l'indinavir, le nelfinavir, la délavirdine, l'éfavirenz et le lopinavir (voir rubrique interactions),
- en association avec le voriconazole (voir rubrique interactions),
- en association avec le stiripentol (voir rubrique interactions),
- en association avec la quinupristine et la dalfopristine (voir rubrique interactions).
- en association avec le diltiazem, le fosamprénavir, la phénylpropanolamine.
DECONSEILLE :
- allaitement : en l'absence de données sur le passage dans le lait maternel, le risque n'est pas connu ; en conséquence, l'allaitement est déconseillé pendant la prise de dihydroergotamine.
- associations déconseillées : bromocriptine, lisuride, cabergoline, pergolide ; sympathomimétiques indirects (éphédrine, phényléphrine, pseudoéphédrine).
Ce médicament contient 75 mg d'alcool par unité de prise. Il est déconseillé chez les patients souffrant de maladie du foie, d'alcoolisme, d'épilepsie, de même que chez les femmes enceintes et les enfants de moins de 12 ans.
Ce médicament NE DOIT JAMAIS être utilisé dans les cas suivants :
- hypersensibilité connue aux dérivés de l'ergot de seigle,
- en association avec les macrolides, sauf la spiramycine (voir rubrique interactions),
- en association avec les triptans (almotriptan, élétriptan, frovatriptan, naratriptan, rizatriptan, sumatriptan et zolmitriptan) (voir rubrique interactions),
- en association avec le ritonavir, l'indinavir, le nelfinavir, la délavirdine, l'éfavirenz et le lopinavir (voir rubrique interactions),
- en association avec le voriconazole (voir rubrique interactions),
- en association avec le stiripentol (voir rubrique interactions),
- en association avec la quinupristine et la dalfopristine (voir rubrique interactions).
- en association avec le diltiazem, le fosamprénavir, la phénylpropanolamine.
DECONSEILLE :
- allaitement : en l'absence de données sur le passage dans le lait maternel, le risque n'est pas connu ; en conséquence, l'allaitement est déconseillé pendant la prise de dihydroergotamine.
- associations déconseillées : bromocriptine, lisuride, cabergoline, pergolide ; sympathomimétiques indirects (éphédrine, phényléphrine, pseudoéphédrine).
Ce médicament contient 75 mg d'alcool par unité de prise. Il est déconseillé chez les patients souffrant de maladie du foie, d'alcoolisme, d'épilepsie, de même que chez les femmes enceintes et les enfants de moins de 12 ans.
- La prise du médicament à jeun est déconseillée.
- A utiliser avec précaution en cas d'insuffisance hépatique sévère et en cas d'insuffisance rénale sévère non compensée par hémodialyse.
- Une surveillance médicale est conseillée en cas d'antécédent pathologique artériel (notamment maladie coronarienne et hypertension artérielle sévère).
- Ce médicament contient 75 mg d'alcool par unité de prise. Il est déconseillé chez les patients souffrant de maladie du foie, d'alcoolisme, d'épilepsie, de même que chez les femmes enceintes et les enfants de moins de 12 ans.
- Grossesse : les études effectuées chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces. Il n'existe pas actuellement de données pertinentes pour évaluer un éventuel effet malformatif ou foetotoxique de la dihydroergotamine lorsqu'elle est administrée pendant la grossesse. Cependant, il existe un risque théorique à forte dose d'action contracturante sur l'utérus. En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser la dihydroergotamine pendant la
- A utiliser avec précaution en cas d'insuffisance hépatique sévère et en cas d'insuffisance rénale sévère non compensée par hémodialyse.
- Une surveillance médicale est conseillée en cas d'antécédent pathologique artériel (notamment maladie coronarienne et hypertension artérielle sévère).
- Ce médicament contient 75 mg d'alcool par unité de prise. Il est déconseillé chez les patients souffrant de maladie du foie, d'alcoolisme, d'épilepsie, de même que chez les femmes enceintes et les enfants de moins de 12 ans.
- Grossesse : les études effectuées chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces. Il n'existe pas actuellement de données pertinentes pour évaluer un éventuel effet malformatif ou foetotoxique de la dihydroergotamine lorsqu'elle est administrée pendant la grossesse. Cependant, il existe un risque théorique à forte dose d'action contracturante sur l'utérus. En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser la dihydroergotamine pendant la
- Possibilité de nausées, surtout en cas de prise à jeun.
- Manifestations de vasoconstriction périphérique : rares cas de paresthésies des doigts et des orteils, d'ischémie périphérique et de cyanose périphérique.
- Fibrose : exceptionnellement des cas isolés de fibrose (plèvre, espace rétropéritonéal) ont été rapportés après plusieurs années de traitement.
- En raison de la présence de glycérol, risque de troubles digestifs et de diarrhée.
- Manifestations de vasoconstriction périphérique : rares cas de paresthésies des doigts et des orteils, d'ischémie périphérique et de cyanose périphérique.
- Fibrose : exceptionnellement des cas isolés de fibrose (plèvre, espace rétropéritonéal) ont été rapportés après plusieurs années de traitement.
- En raison de la présence de glycérol, risque de troubles digestifs et de diarrhée.
Grossesse :
Les études effectuées chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces.
Il n'existe pas actuellement de données pertinentes pour évaluer un éventuel effet malformatif ou foetotoxique de la dihydroergotamine lorsqu'elle est administrée pendant la grossesse.
Cependant, il existe un risque théorique, à forte dose, d'action contracturante sur l'utérus.
En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser la dihydroergotamine pendant la grossesse.
Allaitement :
En l'absence de données sur le passage dans le lait maternel, le risque n'est pas connu ; en conséquence, l'allaitement est déconseillé pendant la prise de dihydroergotamine.
Les études effectuées chez l'animal n'ont pas mis en évidence d'effet tératogène. En l'absence d'effet tératogène chez l'animal, un effet malformatif dans l'espèce humaine n'est pas attendu. En effet, à ce jour, les substances responsables de malformations dans l'espèce humaine se sont révélées tératogènes chez l'animal au cours d'études bien conduites sur deux espèces.
Il n'existe pas actuellement de données pertinentes pour évaluer un éventuel effet malformatif ou foetotoxique de la dihydroergotamine lorsqu'elle est administrée pendant la grossesse.
Cependant, il existe un risque théorique, à forte dose, d'action contracturante sur l'utérus.
En conséquence, par mesure de précaution, il est préférable de ne pas utiliser la dihydroergotamine pendant la grossesse.
Allaitement :
En l'absence de données sur le passage dans le lait maternel, le risque n'est pas connu ; en conséquence, l'allaitement est déconseillé pendant la prise de dihydroergotamine.
ASSOCIATIONS CONTRE-INDIQUEES :
- Macrolides (sauf spiramycine) :
Par extrapolation à partir de l'érythromycine, de la josamycine et de la clarithromycine.
Ergotisme avec possibilité de nécrose des extrémités (inhibition de l'élimination hépatique des alcaloïdes de l'ergot de seigle).
- Ritonavir, indinavir, nelfinavir, amprénavir, atazanavir et lopinavir :
Ergotisme avec possibilité de nécrose des extrémités (inhibition du métabolisme hépatique des alcaloïdes de l'ergot de seigle).
- Triptans (almotriptan, élétriptan, frovatriptan, naratriptan, rizatriptan, sumatriptan et zolmitriptan) :
Risque d'hypertension artérielle, de vasoconstriction artérielle coronaire. Respecter un délai de 24 heures entre l'arrêt du triptan et la prise de l'alcaloïde.
- Délavirdine, éfavirenz :
Ergotisme avec possibilité de nécrose des extrémités (inhibition du métabolisme hépatique des alcaloïdes de l'ergot de seigle).
- Voriconazole :
Ergotisme avec possibilité de nécrose des extrémités (inhibition du métabolisme hépatique des alcaloïdes de l'ergot de seigle).
- Stiripentol :
Ergotisme avec possibilité de nécrose des extrémités (inhibition de l'élimination hépatique des alcaloïdes de l'ergot de seigle).
- Quinupristine et dalfopristine (en association) :
Ergotisme avec possibilité de nécrose des extrémités (inhibition du métabolisme hépatique des alcaloïdes de l'ergot de seigle).
- Fosamprénavir :
Ergotisme avec possibilité de nécrose des extrémités (inhibition du métabolisme hépatique des alcaloïdes de l'ergot de seigle).
- Diltiazem :
Ergotisme avec possibilité de nécrose des extrémités (inhibition du métabolisme hépatique des alcaloïdes de l'ergot de seigle).
- Phénylpropanolamine :
Risque de vasoconstriction et/ou de crises hypertensives.
ASSOCIATIONS DECONSEILLEES :
- Bromocriptine, lisuride, cabergoline et pergolide :
Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.
- Sympathomimétiques indirects (éphédrine, phényléphrine, pseudoéphédrine) :
Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.
- Macrolides (sauf spiramycine) :
Par extrapolation à partir de l'érythromycine, de la josamycine et de la clarithromycine.
Ergotisme avec possibilité de nécrose des extrémités (inhibition de l'élimination hépatique des alcaloïdes de l'ergot de seigle).
- Ritonavir, indinavir, nelfinavir, amprénavir, atazanavir et lopinavir :
Ergotisme avec possibilité de nécrose des extrémités (inhibition du métabolisme hépatique des alcaloïdes de l'ergot de seigle).
- Triptans (almotriptan, élétriptan, frovatriptan, naratriptan, rizatriptan, sumatriptan et zolmitriptan) :
Risque d'hypertension artérielle, de vasoconstriction artérielle coronaire. Respecter un délai de 24 heures entre l'arrêt du triptan et la prise de l'alcaloïde.
- Délavirdine, éfavirenz :
Ergotisme avec possibilité de nécrose des extrémités (inhibition du métabolisme hépatique des alcaloïdes de l'ergot de seigle).
- Voriconazole :
Ergotisme avec possibilité de nécrose des extrémités (inhibition du métabolisme hépatique des alcaloïdes de l'ergot de seigle).
- Stiripentol :
Ergotisme avec possibilité de nécrose des extrémités (inhibition de l'élimination hépatique des alcaloïdes de l'ergot de seigle).
- Quinupristine et dalfopristine (en association) :
Ergotisme avec possibilité de nécrose des extrémités (inhibition du métabolisme hépatique des alcaloïdes de l'ergot de seigle).
- Fosamprénavir :
Ergotisme avec possibilité de nécrose des extrémités (inhibition du métabolisme hépatique des alcaloïdes de l'ergot de seigle).
- Diltiazem :
Ergotisme avec possibilité de nécrose des extrémités (inhibition du métabolisme hépatique des alcaloïdes de l'ergot de seigle).
- Phénylpropanolamine :
Risque de vasoconstriction et/ou de crises hypertensives.
ASSOCIATIONS DECONSEILLEES :
- Bromocriptine, lisuride, cabergoline et pergolide :
Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.
- Sympathomimétiques indirects (éphédrine, phényléphrine, pseudoéphédrine) :
Risque de vasoconstriction et/ou de poussées hypertensives.
20 gouttes = 1 millilitre = 2 mg.
30 gouttes (1,5 mI) trois fois par jour à prendre dans un demi-verre d'eau au milieu des repas.
30 gouttes (1,5 mI) trois fois par jour à prendre dans un demi-verre d'eau au milieu des repas.
Durée de conservation :
3 ans.
3 ans.
Sans objet.
- Symptômes (ergotisme) :
Douleurs abdominales, nausées, vomissements, céphalées, tachycardie ou bradycardie associées à une hypotension, troubles respiratoires, vertiges, paresthésies au niveau des extrémités (dues à l'ischémie).
- Traitement :
. En cas d'intoxication aiguë, une évacuation digestive par lavage gastrique doit être envisagée en milieu hospitalier.
. L'administration de charbon actif peut diminuer le passage digestif de la dihydroergotamine.
. En cas de confirmation d'ergotisme vasculaire, un traitement d'urgence doit être administré en milieu hospitalier : il consiste généralement en une perfusion d'héparine associée à un vasodilatateur et éventuellement aux corticoïdes.
Douleurs abdominales, nausées, vomissements, céphalées, tachycardie ou bradycardie associées à une hypotension, troubles respiratoires, vertiges, paresthésies au niveau des extrémités (dues à l'ischémie).
- Traitement :
. En cas d'intoxication aiguë, une évacuation digestive par lavage gastrique doit être envisagée en milieu hospitalier.
. L'administration de charbon actif peut diminuer le passage digestif de la dihydroergotamine.
. En cas de confirmation d'ergotisme vasculaire, un traitement d'urgence doit être administré en milieu hospitalier : il consiste généralement en une perfusion d'héparine associée à un vasodilatateur et éventuellement aux corticoïdes.
ANTIMIGRAINEUX - ALCALOIDES DE L'ERGOT.
Code ATC : N02CA01.
- In vitro, la DHE et la 8'-OH-DHE sont essentiellement caractérisées par :
. un effet agoniste sur les récepteurs 5-HT1A présynaptiques dans le noyau du raphé dorsal et les autres récepteurs neuronaux 5-HT1A post synaptiques (hippocampe) ;
. un effet antagoniste (hyper-polarisation) sur les récepteurs 5-HT2A et 5-HT2C ;
. une action agoniste sur les récepteurs vasculaires 5-HT1B et une désensibilisation prolongée des récepteurs 5-HT2B ;
. une forte affinité pour les récepteurs 5-HT1D et 5-HT1F ;
. une puissante action antagoniste sur les récepteurs 5-HT7 ;
. une action agoniste partielle modeste sur les récepteurs adrénergiques alpha1 et alpha2 à l'origine d'un effet vasotonique ; action particulièrement marquée sur la circulation veineuse, en partie attribuée à la synthèse d'une substance "prostaglandine-like".
- A doses élevées enfin, la dihydroergotamine se comporte comme un bloqueur des récepteurs alpha-adrénergiques et sérotoninergiques.
Code ATC : N02CA01.
- In vitro, la DHE et la 8'-OH-DHE sont essentiellement caractérisées par :
. un effet agoniste sur les récepteurs 5-HT1A présynaptiques dans le noyau du raphé dorsal et les autres récepteurs neuronaux 5-HT1A post synaptiques (hippocampe) ;
. un effet antagoniste (hyper-polarisation) sur les récepteurs 5-HT2A et 5-HT2C ;
. une action agoniste sur les récepteurs vasculaires 5-HT1B et une désensibilisation prolongée des récepteurs 5-HT2B ;
. une forte affinité pour les récepteurs 5-HT1D et 5-HT1F ;
. une puissante action antagoniste sur les récepteurs 5-HT7 ;
. une action agoniste partielle modeste sur les récepteurs adrénergiques alpha1 et alpha2 à l'origine d'un effet vasotonique ; action particulièrement marquée sur la circulation veineuse, en partie attribuée à la synthèse d'une substance "prostaglandine-like".
- A doses élevées enfin, la dihydroergotamine se comporte comme un bloqueur des récepteurs alpha-adrénergiques et sérotoninergiques.
L'absorption du produit est rapide.
Le produit présente une forte affinité tissulaire.
L'élimination s'effectue essentiellement par voies biliaire et fécale.
Le produit présente une forte affinité tissulaire.
L'élimination s'effectue essentiellement par voies biliaire et fécale.
Sans objet.
Sans objet.
Sans objet.
Liste II.
Remboursement en fonction de l'indication (JO du 28/08/2007) :
La seule indication thérapeutique ouvrant droit à la prise en charge ou au remboursement par l'assurance maladie est le traitement de fond de la migraine.
Remboursement en fonction de l'indication (JO du 28/08/2007) :
La seule indication thérapeutique ouvrant droit à la prise en charge ou au remboursement par l'assurance maladie est le traitement de fond de la migraine.
Absence d'information dans l'AMM.
Flacon contenant 75 ml (verre brun) avec seringue compte-gouttes.